
À Maaloula, l’araméen n’a pas dit son dernier mot
Sarah Martin, 22/06 16:15 - Lecture : 7 minute(s)
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Depuis Berlin, Jarjoura, 28 ans, se connecte chaque semaine à son cours d’araméen. «C’est une langue que mes grands-parents parlaient à Maaloula, mais que mes parents ont cessé d’utiliser en migrant en Allemagne. Grâce à l’association Yawna, je redécouvre mes racines», confie-t-il. Fondée par le linguiste Rimon Wehbi, cette ...