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Le vote sur la Gap Law en Conseil des ministres est anticonstitutionnel

L’expert constitutionnel et juridique, Saïd Malek, a souligné que le fait d’ignorer la majorité des deux tiers prive le projet de loi sur « l’écart financier » (ou “Gap Law”) de toute légitimité dès sa naissance. Dans sa forme actuelle, ce texte n’est pas un simple instrument de régulation, mais un plan financier global qui ...

Adel Yammine: La Gap Law nécessite l’approbation des deux tiers des ministres

L’expert constitutionnel Adel Yammine a affirmé, à notre confrère « Houna Loubnan », que la loi sur l’écart financier, dite “Gap Law”, relève des sujets qui requièrent l’approbation des deux tiers des membres du Conseil des ministres, en vertu de l’article 65 de la Constitution, notamment en ce qui concerne le budget ainsi que ...

La partie invisible de l’iceberg

Tout le monde, ou presque, se souvient un tant soit peu de la fameuse fable de La Fontaine Les Animaux malades de la peste. L’intrigue de cette fable présente quelques légères similitudes avec la petite histoire du funeste projet de loi sur «la stabilisation financière et le remboursement des dépôts» (communément appelée «Gap Law»): ...

Quand les ministres proches de J. Aoun tournent le dos au peuple

Au Liban, la crise n’est plus seulement économique ou financière : elle est devenue morale et politique. Une partie des ministres réputés proches du président de la République (Ahmad Hajjar, Paul Morcos, Laura Lahoud et Michel Menassa) n’agissent plus comme des représentants de l’intérêt général, mais comme les relais dociles ...

Yassine Jaber, Amer Bsat, Maya Dabbagh, Samir Hamoud… Déposants, souvenez-vous de ceux qui ont décidé « d’effacer vos dépôts »

La majorité des observateurs économiques et financiers s’interrogent sur les véritables artisans de la loi sur l’écart financier ou “Gap Law”, que l’on peut qualifier de loi de « liquidation des dépôts ». Bien entendu, outre le ministre des Finances, Yassine Jaber, et le ministre de l’Économie, Amer Bsat, figure également ...

L’État libanais s’est enrichi au taux de 1.500 LL… et veut désormais faire payer les déposants

Pendant des années, l’État libanais a honoré une partie substantielle de ses engagements financiers à un taux fictif, celui de 1 507,5 livres libanaises pour un dollar, bien en deçà de la valeur réelle de la monnaie. Cette pratique n’a jamais été qualifiée de « défaut », ni de « spoliation ». Elle a pourtant permis à l’État ...

L’Ordre des chirurgiens-dentistes du Liban rejette la «Gap Law»

L’Ordre des Chirurgiens-Dentistes du Liban a publié une lettre ouverte adressée à Son Excellence le Président de la République, le général Joseph Aoun, à Son Excellence le Président de la Chambre des députés, Nabih Berry, et à Son Excellence le Président du Conseil des ministres, le juge Nawaf Salam, ainsi qu’aux confrères ...