L'Eglise maronite prisonnière de sa mémoire
Fady Noun, 26/10 12:15 - Lecture : 5 minute(s)
Les massacres de 1860 restent, dans la mémoire de certains chrétiens du Liban, une plaie non refermée, une arête dans la gorge. L'amer souvenir de cette sauvagerie a resurgi à l’occasion de la canonisation des frères Massabki, morts en martyrs à Damas, dans la nuit du 9 au 10 juillet 1860. Que s’est-il passé au juste, pour que plus de ...