Ghassan Hasbani, député des Forces libanaises (FL), a estimé que «la communauté internationale ne veut pas aborder le dossier des migrants syriens de manière sérieuse et trouver une solution globale et radicale» à ce problème existentiel. Dans une intervention à la Voix du Liban, M. Hasbani a mis en garde contre «le statu quo actuel, qui consiste à se contenter de l’aide internationale», reprochant, dans ce sens, à l’État de «ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger la nation de ce danger».
Selon le député FL, «la communauté internationale doit accorder cette aide financière aux déplacés syriens en Syrie, ou bien les installer dans un pays tiers qui accepte que des déplacés soient aidés sur son sol (le pays) par les Nations unies».
M. Hasbani a enfin appelé le gouvernement à «prendre des mesures contre le HCR, qui pourraient aller jusqu’à la fermeture de ses bureaux à Beyrouth si nécessaire, car il viole la souveraineté du Liban et des mémorandums d'accord signés». L’un de ces principaux accords, celui signé en 2003, stipule que le Liban est un pays de refuge et non d’asile.
Selon le député FL, «la communauté internationale doit accorder cette aide financière aux déplacés syriens en Syrie, ou bien les installer dans un pays tiers qui accepte que des déplacés soient aidés sur son sol (le pays) par les Nations unies».
M. Hasbani a enfin appelé le gouvernement à «prendre des mesures contre le HCR, qui pourraient aller jusqu’à la fermeture de ses bureaux à Beyrouth si nécessaire, car il viole la souveraineté du Liban et des mémorandums d'accord signés». L’un de ces principaux accords, celui signé en 2003, stipule que le Liban est un pays de refuge et non d’asile.
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