Le ministre sortant de l'Économie, Amine Salam, a déclaré, vendredi, que le Qatar «serait prêt à accueillir une conférence de Doha 2» pour trouver une issue à l’échéance présidentielle au Liban.
Il a par ailleurs précisé que le Qatar «ne prendra pas le risque de soulever cette possibilité avant qu'elle ne fasse l’objet d’une entente entre toutes les parties, afin d’en garantir le succès».
Lors d’un entretien accordé au quotidien qatari Al-Sharq, M. Salam a ainsi fait allusion à la conférence libanaise de 2008, tenue à Doha, à l’issue de laquelle le général Michel Sleiman avait accédé à la présidence.
À la suite d’une visite à Doha, M. Salam a affirmé, à cet égard, que «la présence de l'État du Qatar parmi les membres du Quintette (chargé de débloquer le dossier de la présidentielle au Liban) sera la meilleure garantie de la poursuite de cette initiative».
«Le Qatar joue un rôle majeur dans le rapprochement des points de vue relatifs aux différentes parties libanaises, et dans l’élaboration des solutions les plus rapides» afférentes à ce dossier, poursuit-il.
Dans ce cadre, le Qatar «continue de redoubler d'efforts pour sortir le Liban de sa crise et contrecarrer l’effondrement économique», a-t-il conclu.
Il a par ailleurs précisé que le Qatar «ne prendra pas le risque de soulever cette possibilité avant qu'elle ne fasse l’objet d’une entente entre toutes les parties, afin d’en garantir le succès».
Lors d’un entretien accordé au quotidien qatari Al-Sharq, M. Salam a ainsi fait allusion à la conférence libanaise de 2008, tenue à Doha, à l’issue de laquelle le général Michel Sleiman avait accédé à la présidence.
À la suite d’une visite à Doha, M. Salam a affirmé, à cet égard, que «la présence de l'État du Qatar parmi les membres du Quintette (chargé de débloquer le dossier de la présidentielle au Liban) sera la meilleure garantie de la poursuite de cette initiative».
«Le Qatar joue un rôle majeur dans le rapprochement des points de vue relatifs aux différentes parties libanaises, et dans l’élaboration des solutions les plus rapides» afférentes à ce dossier, poursuit-il.
Dans ce cadre, le Qatar «continue de redoubler d'efforts pour sortir le Liban de sa crise et contrecarrer l’effondrement économique», a-t-il conclu.
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