Pour la cinquième commémoration du décès du patriarche émérite Nasrallah Sfeir, le 12 mai 2019, des hommages ont été rendus à la mémoire d’un grand homme dont les positions ont permis de libérer le Liban de la tutelle syrienne.
Le ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, a ainsi salué le rôle «central» qu’a joué le patriarche Sfeir pour «préserver la souveraineté, la liberté et l’indépendance du Liban, mais aussi pour le vivre-ensemble». Sur son compte X, il a ainsi rappelé qu’il a été l’artisan de «la réconciliation de la Montagne» et qu’il a parrainé «le dialogue islamo-chrétien». «Il était l’emblème de la gloire du Liban», a conclu M. Halabi.
Pierre Bou Assi, député de la République forte (Forces libanaises), a salué la mémoire du «défenseur inébranlable de l’État libanais qui préserve la présence et le rôle des chrétiens».
https://twitter.com/PierreBouAssi/status/1789572069467803761
Ziad Hawat, député de la République forte (Forces libanaises), a insisté sur le rôle joué par le patriarche Sfeir pour «libérer le Liban de la tutelle» syrienne. «Avec lui, la résistance pacifique a accompli ce que beaucoup pensaient être impossible», a-t-il écrit sur son compte X. «Dans ces circonstances difficiles, nous ravivons dans notre mémoire le chemin qu’il a emprunté et le rôle de Bkerké», a poursuivi M. Hawat. Et de conclure en reprenant les mots du patriarche Sfeir: «Seule Bkerké parle juste.».
https://twitter.com/ziad_hawat/status/1789561795948019836
De leur côté, les Forces libanaises ont publié sur leur compte X une photo du patriarche Sfeir accompagnée d’une phrase du patriarche dans laquelle il exprime son hostilité aux armes du Hezbollah. «La partie qui possède les armes exerce le pouvoir sur les autres, et nous refusons la présence de deux armées au Liban», lit-on sur la photo.
https://twitter.com/LFPartyOfficial/status/1789520267158401354
Quant au chef du Courant du changement, Élie Mahfoud, il a rappelé, dans un communiqué, que le patriarche Sfeir «croyait à la complémentarité entre les communautés chrétiennes, musulmanes et druze», et «c’est ce qui a permis de libérer le Liban de l’occupation syrienne». «Aujourd’hui, nous sommes appelés à nous attacher les uns aux autres et à l’identité libanaise pour sauver la République», a-t-il insisté.
Le ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, a ainsi salué le rôle «central» qu’a joué le patriarche Sfeir pour «préserver la souveraineté, la liberté et l’indépendance du Liban, mais aussi pour le vivre-ensemble». Sur son compte X, il a ainsi rappelé qu’il a été l’artisan de «la réconciliation de la Montagne» et qu’il a parrainé «le dialogue islamo-chrétien». «Il était l’emblème de la gloire du Liban», a conclu M. Halabi.
Pierre Bou Assi, député de la République forte (Forces libanaises), a salué la mémoire du «défenseur inébranlable de l’État libanais qui préserve la présence et le rôle des chrétiens».
https://twitter.com/PierreBouAssi/status/1789572069467803761
Ziad Hawat, député de la République forte (Forces libanaises), a insisté sur le rôle joué par le patriarche Sfeir pour «libérer le Liban de la tutelle» syrienne. «Avec lui, la résistance pacifique a accompli ce que beaucoup pensaient être impossible», a-t-il écrit sur son compte X. «Dans ces circonstances difficiles, nous ravivons dans notre mémoire le chemin qu’il a emprunté et le rôle de Bkerké», a poursuivi M. Hawat. Et de conclure en reprenant les mots du patriarche Sfeir: «Seule Bkerké parle juste.».
https://twitter.com/ziad_hawat/status/1789561795948019836
De leur côté, les Forces libanaises ont publié sur leur compte X une photo du patriarche Sfeir accompagnée d’une phrase du patriarche dans laquelle il exprime son hostilité aux armes du Hezbollah. «La partie qui possède les armes exerce le pouvoir sur les autres, et nous refusons la présence de deux armées au Liban», lit-on sur la photo.
https://twitter.com/LFPartyOfficial/status/1789520267158401354
Quant au chef du Courant du changement, Élie Mahfoud, il a rappelé, dans un communiqué, que le patriarche Sfeir «croyait à la complémentarité entre les communautés chrétiennes, musulmanes et druze», et «c’est ce qui a permis de libérer le Liban de l’occupation syrienne». «Aujourd’hui, nous sommes appelés à nous attacher les uns aux autres et à l’identité libanaise pour sauver la République», a-t-il insisté.
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