Le bureau politique du Courant patriotique libre (CPL) a appelé mardi les 16 députés du bloc à voter pour Jihad Azour lors de la séance parlementaire de mercredi prochain, convoquée par le président de la Chambre, Nabih Berry, qui sera consacrée à l’élection d’un président de la République.
Le bureau politique du CPL «approuve la décision prise par son chef, Gebran Bassil, qui a soutenu la candidature de Jihad Azour à la présidence», lit-on dans un communiqué publié à l’issue de la réunion hebdomadaire du parti, qui s’est tenue en présence de son fondateur et ancien chef de l’État, Michel Aoun. Le CPL et «des blocs parlementaires qui représentent la majorité écrasante des chrétiens se sont entendus sur la candidature de Jihad Azour», ancien ministre des Finances et directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du Fonds monétaire international, y est-il ajouté.
Le bureau politique du CPL a estimé que le vote en faveur de M. Azour vise à «empêcher que soit élu à la tête de l'État le candidat imposé (par le tandem Amal-Hezbollah, à savoir le chef des Marada, Sleiman Frangié, NDLR), qui ne peut opérer les réformes nécessaires ni changer le système politique en vigueur».
Contrairement aux séances parlementaires précédentes, les députés du bloc aouniste «n’auront pas recours au bulletin blanc, perçu comme une démarche obstructive qui pourrait contribuer à prolonger la vacance présidentielle», a conclu le bureau politique du parti.
Le bureau politique du CPL «approuve la décision prise par son chef, Gebran Bassil, qui a soutenu la candidature de Jihad Azour à la présidence», lit-on dans un communiqué publié à l’issue de la réunion hebdomadaire du parti, qui s’est tenue en présence de son fondateur et ancien chef de l’État, Michel Aoun. Le CPL et «des blocs parlementaires qui représentent la majorité écrasante des chrétiens se sont entendus sur la candidature de Jihad Azour», ancien ministre des Finances et directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du Fonds monétaire international, y est-il ajouté.
Le bureau politique du CPL a estimé que le vote en faveur de M. Azour vise à «empêcher que soit élu à la tête de l'État le candidat imposé (par le tandem Amal-Hezbollah, à savoir le chef des Marada, Sleiman Frangié, NDLR), qui ne peut opérer les réformes nécessaires ni changer le système politique en vigueur».
Contrairement aux séances parlementaires précédentes, les députés du bloc aouniste «n’auront pas recours au bulletin blanc, perçu comme une démarche obstructive qui pourrait contribuer à prolonger la vacance présidentielle», a conclu le bureau politique du parti.
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