Voulant mettre toutes les chances de son côté pour continuer à avoir un rôle substantiel quelconque sur la scène politique locale, le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, essaie de manager la chèvre et le chou.
Son parti est ainsi engagé dans des discussions parallèles avec l’opposition, représentée par les Forces libanaises, les Kataëb, Tajaddod et des indépendants, ainsi qu’avec le Hezbollah, pour une entente avec l’une ou l’autre partie, au sujet d’un candidat à la présidentielle. Sachant que les deux camps adversaires ont une conception diamétralement opposée -sur certains points- du profile du prochain président de la République.
Les manœuvres bassiliennes sont mal vues par les FL qui, par la voix d’un de leurs députés, Fadi Karam, ont demandé à Gebran Bassil de choisir son camp. « Le chef du CPL effectue des contacts avec le Hezbollah dans la perspective d’une entente. Il doit cependant trancher. Soit il met la main dans celle de l’opposition pour sauver le pays, soit il choisit de revenir à l’entente avec le Hezb. Ce qui lui causera du tort et sera préjudiciable pour le pays », a averti M. Karam lundi matin, dans une déclaration à la radio.
Des médias libanais avaient souligné qu’à cause de ce double jeu, les FL avaient suspendu leurs pourparlers avec le CPL, ce que M. Karam n’a pas confirmé. Le député de Koura a indiqué que « les contacts sont menés avec le CPL pour essayer de s’entendre sur une personne avec laquelle nous nous engagerons dans la bataille pour la présidentielle, du moment que la Moumanaa a opté pour son candidat ».
Cependant, au cas où Gebran Bassil déciderait de retourner dans le giron du Hezbollah, des concertations seraient menées avec les composantes de l’opposition « avec qui nous partageons la même vision, en vue d’une position commune ».
Il a indiqué que le choix d’un candidat de l’opposition pourrait prendre du temps et que les rencontres organisées à cette fin se sont intensifiées. M. Karam a cependant précisé que l’identité de ce candidat pourrait ne pas être dévoilée jusque ce que la date d’une réunion parlementaire électorale soit fixée. Le député a aussi dit espérer un ralliement des « parties hésitantes » à l’option de l’opposition, une fois que celle-ci sera annoncée.
Son parti est ainsi engagé dans des discussions parallèles avec l’opposition, représentée par les Forces libanaises, les Kataëb, Tajaddod et des indépendants, ainsi qu’avec le Hezbollah, pour une entente avec l’une ou l’autre partie, au sujet d’un candidat à la présidentielle. Sachant que les deux camps adversaires ont une conception diamétralement opposée -sur certains points- du profile du prochain président de la République.
Les manœuvres bassiliennes sont mal vues par les FL qui, par la voix d’un de leurs députés, Fadi Karam, ont demandé à Gebran Bassil de choisir son camp. « Le chef du CPL effectue des contacts avec le Hezbollah dans la perspective d’une entente. Il doit cependant trancher. Soit il met la main dans celle de l’opposition pour sauver le pays, soit il choisit de revenir à l’entente avec le Hezb. Ce qui lui causera du tort et sera préjudiciable pour le pays », a averti M. Karam lundi matin, dans une déclaration à la radio.
Des médias libanais avaient souligné qu’à cause de ce double jeu, les FL avaient suspendu leurs pourparlers avec le CPL, ce que M. Karam n’a pas confirmé. Le député de Koura a indiqué que « les contacts sont menés avec le CPL pour essayer de s’entendre sur une personne avec laquelle nous nous engagerons dans la bataille pour la présidentielle, du moment que la Moumanaa a opté pour son candidat ».
Cependant, au cas où Gebran Bassil déciderait de retourner dans le giron du Hezbollah, des concertations seraient menées avec les composantes de l’opposition « avec qui nous partageons la même vision, en vue d’une position commune ».
Il a indiqué que le choix d’un candidat de l’opposition pourrait prendre du temps et que les rencontres organisées à cette fin se sont intensifiées. M. Karam a cependant précisé que l’identité de ce candidat pourrait ne pas être dévoilée jusque ce que la date d’une réunion parlementaire électorale soit fixée. Le député a aussi dit espérer un ralliement des « parties hésitantes » à l’option de l’opposition, une fois que celle-ci sera annoncée.
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