©Fady Jeanbart lors du récital donné lundi soir à Bkerké. ©DR
Le Conservatoire national supérieur de musique du Liban (CNSML) a organisé, le lundi 10 avril, un concert célébrant la Résurrection, selon le calendrier grégorien, au siège patriarcal de Bkerké, sous le patronage et en présence du patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï.
Durant ce concert pascal, l’Orchestre philharmonique du Liban (OPL), sous la houlette de Garo Avessian, a interprété un bouquet hétéroclite d’œuvres musicales, aussi bien profanes que religieuses, incluant des œuvres allant de l’époque baroque de George Frideric Handel à l’époque romantique de Franz Schubert, César Franck et Gabriel Fauré, en passant par l’époque classique de Joseph Haydn. Portant les couleurs de l’espoir et de l’espérance, les prestations instrumentales proposées par l’OPL ont par ailleurs été ponctuées par des intermèdes de chant lyrique, interprétés par Fady Jeanbart, baryton, et des lectures d’extraits des épîtres de saint Paul Apôtre aux Corinthiens par les acteurs Julia Kassar et Rifaat Tarabay.
À l’issue du récital, le patriarche maronite a remercié la directrice par intérim du CNSML, Hiba Kawas, pour le «cadeau» musical qu’elle a offert à l’occasion de Pâques, en soulignant l’importance de soutenir la culture qui représente le Liban. «C’est ça le Liban, le Liban de la culture, de la beauté et de l’art. S’il n’est ainsi, il perd le sens de son existence», a-t-il déclaré. Mme Kawas, quant à elle, a remercié le prélat pour son patronage et son soutien, ajoutant que «ce dont nous (les Libanais) avons besoin aujourd’hui, c’est de vivre la vraie résurrection du Liban».
Durant ce concert pascal, l’Orchestre philharmonique du Liban (OPL), sous la houlette de Garo Avessian, a interprété un bouquet hétéroclite d’œuvres musicales, aussi bien profanes que religieuses, incluant des œuvres allant de l’époque baroque de George Frideric Handel à l’époque romantique de Franz Schubert, César Franck et Gabriel Fauré, en passant par l’époque classique de Joseph Haydn. Portant les couleurs de l’espoir et de l’espérance, les prestations instrumentales proposées par l’OPL ont par ailleurs été ponctuées par des intermèdes de chant lyrique, interprétés par Fady Jeanbart, baryton, et des lectures d’extraits des épîtres de saint Paul Apôtre aux Corinthiens par les acteurs Julia Kassar et Rifaat Tarabay.
À l’issue du récital, le patriarche maronite a remercié la directrice par intérim du CNSML, Hiba Kawas, pour le «cadeau» musical qu’elle a offert à l’occasion de Pâques, en soulignant l’importance de soutenir la culture qui représente le Liban. «C’est ça le Liban, le Liban de la culture, de la beauté et de l’art. S’il n’est ainsi, il perd le sens de son existence», a-t-il déclaré. Mme Kawas, quant à elle, a remercié le prélat pour son patronage et son soutien, ajoutant que «ce dont nous (les Libanais) avons besoin aujourd’hui, c’est de vivre la vraie résurrection du Liban».
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