Le Courant patriotique libre (CPL) a annoncé vendredi que son groupe parlementaire ne participera aux séances législatives en cas de convocation de la Chambre assurant que « l’élection d’un président de la République représente la seule issue constitutionnelle pour le travail normal du Conseil des ministres et du Parlement ».
Dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion de son bloc parlementaire, le CPL a indiqué "qu’il était l’objet d’une campagne délibérée visant à déformer sa position quant aux séances législatives". La formation dirigée par Gebran Bassil a affirmé que la tenue de séances législatives en cas de circonstances exceptionnelles ou pour raison d’intérêt national devenait « une demande qui allait de soi ».
Le CPL a par ailleurs appelé les personnes fustigeant les séances législatives à avoir la même position concernant les séances du Conseil des ministres démissionnaire " contrairement à ce que prévoit la Constitution", selon le parti aouniste.
Samedi dernier, un groupe pluriel de 46 députés majoritairement issus des partis de l’opposition ont annoncé dans un communiqué leur volonté de boycotter toute séance législative en l’absence d’un président de la République.
Le président du Parlement Nabih Berry avait convoqué le Bureau de la Chambre lundi dernier sans pour autant fixer la date d’une éventuelle séance législative, chose qui a fait bouger les différents groupes du Parlement, les poussant à prendre position.
Dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion de son bloc parlementaire, le CPL a indiqué "qu’il était l’objet d’une campagne délibérée visant à déformer sa position quant aux séances législatives". La formation dirigée par Gebran Bassil a affirmé que la tenue de séances législatives en cas de circonstances exceptionnelles ou pour raison d’intérêt national devenait « une demande qui allait de soi ».
Le CPL a par ailleurs appelé les personnes fustigeant les séances législatives à avoir la même position concernant les séances du Conseil des ministres démissionnaire " contrairement à ce que prévoit la Constitution", selon le parti aouniste.
Samedi dernier, un groupe pluriel de 46 députés majoritairement issus des partis de l’opposition ont annoncé dans un communiqué leur volonté de boycotter toute séance législative en l’absence d’un président de la République.
Le président du Parlement Nabih Berry avait convoqué le Bureau de la Chambre lundi dernier sans pour autant fixer la date d’une éventuelle séance législative, chose qui a fait bouger les différents groupes du Parlement, les poussant à prendre position.
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