
Les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement ont publié, lundi, un communiqué conjoint dans lequel ils confirment qu’“en réponse aux préoccupations concernant les effets du phosphore sur les cultures agricoles dans les régions du sud, les premiers tests en laboratoire effectués sur des échantillons de cultures, en particulier les olives, n'ont montré aucun impact du phosphore, ce qui garantit leur consommation sans risques”.
Il convient de noter que le phosphore blanc, utilisé lors des bombardements israéliens en raison de ses propriétés inflammables, a un impact direct sur les terres agricoles et les forêts en provoquant des incendies. Toutefois, ses résidus se réintègrent dans le cycle biogéochimique naturel, ce qui rend la consommation des récoltes non brûlées sans danger.
L'impact indirect d'une concentration élevée de phosphore dans le sol pourrait affecter la productivité des cultures dans les zones à forte concentration. Cela nécessite un suivi et un accompagnement des agriculteurs afin de les guider sur les méthodes permettant de restaurer la fertilité des terres.
Les ministères réaffirment leur engagement total à protéger l'environnement et la santé des citoyens, en plus de garantir la qualité des produits agricoles.
Commentaires