"La résistance est la préservation de l’unité interne nationale et la fidélité absolue au Liban", a déclaré le patriarche maronite Béchara Raï dans son homélie dominicale.
Le patriarche maronite Béchara Raï a réitéré dimanche "la nécessité de former un nouveau gouvernement et d’élire un président de la République avant le 31 octobre pour éviter une vacance au niveau de l’Exécutif".
Ce n’est pas la première fois que le chef de l’Église maronite plaide pour le respect des échéances constitutionnelles et pour l’élection d’un nouveau chef d’État, capable de rassembler les Libanais, doté de qualités et de compétences qui aideront le pays à surmonter la pire crise politique et économique de son histoire.
Le prélat a aussi abordé le dossier de la double explosion survenue au port de Beyrouth le 4 août 2020 dans son homélie dominicale, appelant le pouvoir judiciaire "à être protégé de toute tentative de politisation ou de compromis, afin de préserver l’enquête, pour que justice soit faite et pour que les coupables répondent de leurs actes".
L’appel de Mgr. Rai intervient à la suite des tractations du ministre sortant de la Justice Henri Khoury pour nominer un juge suppléant au juge d’instruction Tarek Bitar. Ce dernier était chargé de l’affaire, mais en a été écarté à cause de nombreuses plaintes et recours présentés contre lui par des responsables politiques, résultant en une suspension de l’enquête.
Le cardinal Raï s’est également penché sur la question de la résistance, soulignant qu’elle "ne se limite pas aux armes", en faisant une allusion à peine voilée au Hezbollah. "La résistance est la préservation de l’unité interne nationale et la fidélité absolue au Liban", a-t-il déclaré.
Le patriarche maronite Béchara Raï a réitéré dimanche "la nécessité de former un nouveau gouvernement et d’élire un président de la République avant le 31 octobre pour éviter une vacance au niveau de l’Exécutif".
Ce n’est pas la première fois que le chef de l’Église maronite plaide pour le respect des échéances constitutionnelles et pour l’élection d’un nouveau chef d’État, capable de rassembler les Libanais, doté de qualités et de compétences qui aideront le pays à surmonter la pire crise politique et économique de son histoire.
Le prélat a aussi abordé le dossier de la double explosion survenue au port de Beyrouth le 4 août 2020 dans son homélie dominicale, appelant le pouvoir judiciaire "à être protégé de toute tentative de politisation ou de compromis, afin de préserver l’enquête, pour que justice soit faite et pour que les coupables répondent de leurs actes".
L’appel de Mgr. Rai intervient à la suite des tractations du ministre sortant de la Justice Henri Khoury pour nominer un juge suppléant au juge d’instruction Tarek Bitar. Ce dernier était chargé de l’affaire, mais en a été écarté à cause de nombreuses plaintes et recours présentés contre lui par des responsables politiques, résultant en une suspension de l’enquête.
Le cardinal Raï s’est également penché sur la question de la résistance, soulignant qu’elle "ne se limite pas aux armes", en faisant une allusion à peine voilée au Hezbollah. "La résistance est la préservation de l’unité interne nationale et la fidélité absolue au Liban", a-t-il déclaré.
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