©Kamala Harris (à gauche),accompagnée de sa porte-parole Symone Sanders (à droite) lors d'un déplacement officiel: Selon plusieurs médias américains, son équipe connaît des tensions internes et entretient des relations difficiles avec les collaboratrices et collaborateurs de Joe Biden. (AFP)
La Maison Blanche a confirmé jeudi le départ à la fin de l'année de Symone Sanders, porte-parole principale de la vice-présidente Kamala Harris, au moment où cette dernière traverse une mauvaise passe politique.
Confirmant des informations de presse, la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki a indiqué qu'il y avait eu "une annonce à propos du départ de Symone Sanders", ajoutant: "elle fera toujours partie de la famille Biden-Harris et c'est tout naturel d'être prête à faire quelque chose de nouveau après quelques années."
"Travailler pendant la première année d'un mandat à la Maison Blanche est à la fois passionnant et enrichissant, mais aussi éreintant et épuisant", a encore dit Jen Psaki.
Elle a noté que ce départ était "l'occasion de faire venir de nouveaux visages, de nouvelles voix et une nouvelle perspective."
Kamala Harris, interrogée à ce sujet par des journalistes, a dit jeudi: "J'adore Symone."
"Je suis très impatiente de savoir ce qu'elle va faire maintenant", a ajouté la vice-présidente.
Jen Psaki n'a en revanche pas voulu commenter les informations de presse sur la démission d'une autre collaboratrice de Kamala Harris, sa directrice de communication Ashley Etienne.
La vice-présidente américaine traverse une passe difficile politiquement et peine à trouver sa place à la Maison Blanche, où elle est chargée de missions particulièrement délicates, ayant trait à l'accès des minorités au vote ou aux origines de la crise migratoire à la frontière sud.
Selon plusieurs médias américains, son équipe connaît des tensions internes et entretient des relations difficiles avec les collaboratrices et collaborateurs de Joe Biden.
A Washington, les commentateurs politiques ont commencé à spéculer ouvertement sur l'avenir politique de la vice-présidente.
Elle a marqué l'histoire en devenant la première femme et la première personne noire et d'origine asiatique à être investie à ce poste, qui en fait théoriquement l'héritière de Joe Biden, âgé de 79 ans, lors d'une prochaine élection présidentielle.
AFP
Confirmant des informations de presse, la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki a indiqué qu'il y avait eu "une annonce à propos du départ de Symone Sanders", ajoutant: "elle fera toujours partie de la famille Biden-Harris et c'est tout naturel d'être prête à faire quelque chose de nouveau après quelques années."
"Travailler pendant la première année d'un mandat à la Maison Blanche est à la fois passionnant et enrichissant, mais aussi éreintant et épuisant", a encore dit Jen Psaki.
Elle a noté que ce départ était "l'occasion de faire venir de nouveaux visages, de nouvelles voix et une nouvelle perspective."
Kamala Harris, interrogée à ce sujet par des journalistes, a dit jeudi: "J'adore Symone."
"Je suis très impatiente de savoir ce qu'elle va faire maintenant", a ajouté la vice-présidente.
Jen Psaki n'a en revanche pas voulu commenter les informations de presse sur la démission d'une autre collaboratrice de Kamala Harris, sa directrice de communication Ashley Etienne.
La vice-présidente américaine traverse une passe difficile politiquement et peine à trouver sa place à la Maison Blanche, où elle est chargée de missions particulièrement délicates, ayant trait à l'accès des minorités au vote ou aux origines de la crise migratoire à la frontière sud.
Selon plusieurs médias américains, son équipe connaît des tensions internes et entretient des relations difficiles avec les collaboratrices et collaborateurs de Joe Biden.
A Washington, les commentateurs politiques ont commencé à spéculer ouvertement sur l'avenir politique de la vice-présidente.
Elle a marqué l'histoire en devenant la première femme et la première personne noire et d'origine asiatique à être investie à ce poste, qui en fait théoriquement l'héritière de Joe Biden, âgé de 79 ans, lors d'une prochaine élection présidentielle.
AFP
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