
Lorsqu’on n’a plus rien à perdre, plutôt mourir une fois que de mourir à petit feu
2021-11-23 20:55 - Lecture : 5 minute(s)
La vague de départs, fussent-ils par les airs ou par la mer, ne fait que s’amplifier. La paupérisation de la population libanaise, touchée par une multitude de crises, pousse les Libanais à chercher des ciels plus cléments. Ahmad a vu son frère Ezzat quitter sans sourciller ni se retourner, Tripoli, ville portuaire du Liban-nord devenue ...