
La douceur de septembre, Lettres à Beyrouth, juste après ou le deuil infini de Marie-Christine Tayah
Bélinda Ibrahim 2021-12-26 17:32 - Lecture : 5 minute(s)
Marie-Christine Tayah porte les blessures de Beyrouth dans le cœur. Plaies béantes. Celles du 4 août 2020 qui demeureront quoique l’on fasse ou dise. Une ville détruite, des vies arrachées. Deuil infini. Le temps, s’il aide à accepter, n’efface pas le traumatisme. Il atténue peut-être l’après-coup, mais ce qui fut ne s’effacera ...