Le leader des Forces libanaises Samir Geagea a estimé qu’il était «certainement le candidat naturel à la première magistrature». «Selon l’usage en cours depuis 30 ans, la personnalité la plus représentative au sein de sa communauté est naturellement candidate à la fonction la plus élevée relevant de cette communauté», a-t-il dit lors dans une interview accordée à Télé Liban. «Tout le monde a adopté et pratiqué cette logique. Par conséquent, je suis certainement le candidat naturel à la première magistrature», a-t-il poursuivi.
Soulignant qu’il ne passera pas son temps à faire le tour des députés pour qu’ils lui accordent leur voix, le chef des FL a expliqué que son principal souci est de rassembler «les différentes factions de l’opposition autour d’un candidat qui adopterait notre projet». «J’accepterai que d’autres noms que le mien soient avancés, s’ils adoptent notre projet. Le président doit être à la fois issu du 14 Mars et réformiste», a-t-il ajouté.
Samir Geagea a souligné que cela est possible si les 67 députés qui forment la majorité de l’Hémicycle (face au Hezbollah, le mouvement Amal et le Courant patriotique libre, qui comptent 61 députés) se rallient à sa cause. Il a dans ce cadre déploré le manque de cohésion et d’unité parmi les nouveaux députés.
À la question de savoir si le commandant en chef de l’armée répondait aux critères définis par les Forces libanaises pour le prochain chef de l'État, le leader chrétien a expliqué que son parti «préfèrerait une personnalité politique», mais que si cette possibilité s’avérait difficile pourquoi ne pas examiner d’autres éventualités. «Le commandant en chef de l'armée, le général Joseph Aoun, possède des qualités, et sa ligne de conduite l’a déjà démontré», a conclu Samir Geagea.
Soulignant qu’il ne passera pas son temps à faire le tour des députés pour qu’ils lui accordent leur voix, le chef des FL a expliqué que son principal souci est de rassembler «les différentes factions de l’opposition autour d’un candidat qui adopterait notre projet». «J’accepterai que d’autres noms que le mien soient avancés, s’ils adoptent notre projet. Le président doit être à la fois issu du 14 Mars et réformiste», a-t-il ajouté.
Samir Geagea a souligné que cela est possible si les 67 députés qui forment la majorité de l’Hémicycle (face au Hezbollah, le mouvement Amal et le Courant patriotique libre, qui comptent 61 députés) se rallient à sa cause. Il a dans ce cadre déploré le manque de cohésion et d’unité parmi les nouveaux députés.
À la question de savoir si le commandant en chef de l’armée répondait aux critères définis par les Forces libanaises pour le prochain chef de l'État, le leader chrétien a expliqué que son parti «préfèrerait une personnalité politique», mais que si cette possibilité s’avérait difficile pourquoi ne pas examiner d’autres éventualités. «Le commandant en chef de l'armée, le général Joseph Aoun, possède des qualités, et sa ligne de conduite l’a déjà démontré», a conclu Samir Geagea.
Lire aussi
Commentaires