Le ministre sortant de l'Économie et du Commerce, Amin Salam, a plaidé en faveur d'une consolidation des rapports économiques avec les pays arabes.
M. Salam a indiqué dans un entretien avec un média arabe que le retour du Liban sur les marchés du Golfe est «essentiel pour l'économie locale», notant que «les chiffres, l'histoire, les relations et les entreprises dans l'ensemble du parcours économique du Liban ont toujours été principalement influencés par les relations avec le monde arabe, en particulier avec les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), dans lequel travaillent des milliers d'entreprises et de particuliers libanaises.
Il a rappelé que les grandes entreprises du Golfe sont prêtes à investir au Liban et à mettre en œuvre des projets sur base d'un partenariat gagnant-gagnant pour les pays investisseurs et pour le Liban.
Concernant ses fréquentes visites au Qatar, il a assuré qu’elles visent à reconsolider les relations avec ce pays, ainsi qu'avec l'Arabie saoudite, le Koweït et tous les pays arabes. Il a rappelé que le Liban entretient une relation privilégiée avec Doha et que s'il a «décidé d'établir un canal de communication ouvert avec le Qatar, à travers des visites fréquentes et des entretiens avec les responsables qataris, c'est pour pouvoir ouvrir de nouveau les portes avec les pays du Conseil de coopération du Golfe et avec le monde arabe».
M. Salam a indiqué que lors de ses dernières réunions à Doha, des responsables du gouvernement qatari «ont fait part de leur volonté d'aider le Liban dans tous les domaines, notamment l'énergie, les transports, le tourisme, la numérisation, la technologie et l'investissement en général».
Il convient de rappeler que pour parer aux problèmes d’électricité qui empoisonnent le quotidien des Libanais, le Qatar a proposé d’offrir au pays du Cèdre trois centrales électriques à énergie renouvelable qui couvriront 30% des besoins énergétiques du Liban.
M. Salam s’est cependant montré inquiet quant au sort de ces projets, craignant qu'il ne soit identique à celui des initiatives qui n'ont pas été mises en œuvre.
M. Salam a indiqué dans un entretien avec un média arabe que le retour du Liban sur les marchés du Golfe est «essentiel pour l'économie locale», notant que «les chiffres, l'histoire, les relations et les entreprises dans l'ensemble du parcours économique du Liban ont toujours été principalement influencés par les relations avec le monde arabe, en particulier avec les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), dans lequel travaillent des milliers d'entreprises et de particuliers libanaises.
Il a rappelé que les grandes entreprises du Golfe sont prêtes à investir au Liban et à mettre en œuvre des projets sur base d'un partenariat gagnant-gagnant pour les pays investisseurs et pour le Liban.
Concernant ses fréquentes visites au Qatar, il a assuré qu’elles visent à reconsolider les relations avec ce pays, ainsi qu'avec l'Arabie saoudite, le Koweït et tous les pays arabes. Il a rappelé que le Liban entretient une relation privilégiée avec Doha et que s'il a «décidé d'établir un canal de communication ouvert avec le Qatar, à travers des visites fréquentes et des entretiens avec les responsables qataris, c'est pour pouvoir ouvrir de nouveau les portes avec les pays du Conseil de coopération du Golfe et avec le monde arabe».
M. Salam a indiqué que lors de ses dernières réunions à Doha, des responsables du gouvernement qatari «ont fait part de leur volonté d'aider le Liban dans tous les domaines, notamment l'énergie, les transports, le tourisme, la numérisation, la technologie et l'investissement en général».
Il convient de rappeler que pour parer aux problèmes d’électricité qui empoisonnent le quotidien des Libanais, le Qatar a proposé d’offrir au pays du Cèdre trois centrales électriques à énergie renouvelable qui couvriront 30% des besoins énergétiques du Liban.
M. Salam s’est cependant montré inquiet quant au sort de ces projets, craignant qu'il ne soit identique à celui des initiatives qui n'ont pas été mises en œuvre.
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