L’ordre des avocats de Tripoli a levé l’immunité dont bénéficie l’avocat Khaled Merheb, soupçonné d’implication dans le réseau des TikTokeurs pédophiles et qui fait l’objet de poursuites judiciaires dans cette affaire. Il a aussi mis une hotline à disposition des victimes.
Le conseil de l’ordre a tenu lundi une réunion pour discuter de la levée de l’immunité de Khaled Merheb, sous la présidence du bâtonnier Sami al-Hassan. L’avocat avait été convoqué à cette réunion pour «y être entendu» avant que le conseil ne prenne sa décision. Il était accompagné d’un homme qu’il a présenté comme étant «son assistant».
Le barreau de Tripoli a publié un communiqué dans lequel il a indiqué «avoir mené une enquête intérieure et donné son feu vert aux poursuites requises contre l’avocat».
Il a en outre souligné son engagement à «prendre toutes les mesures ou décisions susceptibles d’aider à identifier les membres de ce gang», en mettant l’accent sur la gravité de cette affaire.
Dans ce contexte, l’ordre des avocats de Tripoli a annoncé une «initiative pour préserver les droits des enfants, à travers la mise en place d’une hotline pour assurer un soutien aux victimes d’actes criminels, avec l’aide des institutions pédagogiques et sociales». Le numéro est le suivant: 81-519782.
Onze personnes sont jusqu’aujourd’hui arrêtées dans le cadre de cette affaire sordide. Toutes ont été déférées devant le Premier juge d’instruction du Mont-Liban, Nicolas Mansour, par le bureau de lutte contre la cybercriminalité qui est désormais engagé sur deux voies: trouver les personnes dont les noms sont apparus durant l’enquête et traquer d’autres qui n’ont pas encore été identifiées.
Le conseil de l’ordre a tenu lundi une réunion pour discuter de la levée de l’immunité de Khaled Merheb, sous la présidence du bâtonnier Sami al-Hassan. L’avocat avait été convoqué à cette réunion pour «y être entendu» avant que le conseil ne prenne sa décision. Il était accompagné d’un homme qu’il a présenté comme étant «son assistant».
Le barreau de Tripoli a publié un communiqué dans lequel il a indiqué «avoir mené une enquête intérieure et donné son feu vert aux poursuites requises contre l’avocat».
Il a en outre souligné son engagement à «prendre toutes les mesures ou décisions susceptibles d’aider à identifier les membres de ce gang», en mettant l’accent sur la gravité de cette affaire.
Dans ce contexte, l’ordre des avocats de Tripoli a annoncé une «initiative pour préserver les droits des enfants, à travers la mise en place d’une hotline pour assurer un soutien aux victimes d’actes criminels, avec l’aide des institutions pédagogiques et sociales». Le numéro est le suivant: 81-519782.
Onze personnes sont jusqu’aujourd’hui arrêtées dans le cadre de cette affaire sordide. Toutes ont été déférées devant le Premier juge d’instruction du Mont-Liban, Nicolas Mansour, par le bureau de lutte contre la cybercriminalité qui est désormais engagé sur deux voies: trouver les personnes dont les noms sont apparus durant l’enquête et traquer d’autres qui n’ont pas encore été identifiées.
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