Toujours dans le cadre de la politique d'ouverture amorcée à la fin de l’année dernière envers différents bords politiques, le chef du Parti socialiste progressiste (PSP), le député Teymour Joumblatt, s'est rendu mercredi, à la tête d’une délégation de son parti, auprès du chef du parti démocrate libanais, Talal Arslane.
Les deux hommes étaient d’accord sur la nécessité de préserver la stabilité du Liban, «pour éviter que la situation ne s'aggrave sur le front sud et pour débloquer la présidentielle».
À l’issue de cette rencontre, le chef du PSP a rappelé l'objectif de la visite «qui s’inscrit dans le cadre des contacts et des visites auprès des diverses forces politiques», avant de souligner que «les points de vue étaient identiques sur l'importance du maintien de la stabilité au Liban».
M. Joumblatt s’est toutefois dit inquiet du «danger israélien qui continue de planer malgré tous les efforts régionaux» en faveur d’un apaisement.
Il a également exprimé l'espoir que «des solutions politiques débouchent sur un cessez-le-feu à Gaza», afin et surtout pour que «la situation ne devienne pas incontrôlable au Liban-Sud».
Le député du Chouf a ensuite déploré le fait que certains veuillent attendre «les résultats de la guerre en Palestine» pour élire un président de la République, en insistant sur le caractère libanais de ce dossier. «Cette question est d'abord une responsabilité libanaise, et non une responsabilité étrangère, avec toute ma reconnaissance aux amis du Liban et au groupe des Cinq (France, Arabie saoudite, Qatar, Égypte et États-Unis) qui essaie toujours de trouver des solutions» à la crise politique, a aussi souligné M. Joumblatt.
De son côté, Talal Arslane, a souligné, devant son hôte «la nécessité de renforcer l'unité interne libanaise». Il a aussi insisté sur "la responsabilité commune de préserver l’unité de la montage». «Nous avons tous la responsabilité de consolider la situation aux plans social, sanitaire et économique dans la montagne», a-t-il dit, en ajoutant que les réunions se poursuivront avec le PSP «pour discuter des préoccupations communes».
La délégation présidée par M. Joumblatt était composée des députés Akram Chehayeb, Wael Bou Faour, Hadi Abou el-Hosn, Fayçal el-Sayegh, du secrétaire général du parti, Zafer Nasser et du conseiller de M. Joumblatt, Houssam Harb. Aux côtés de M. Arslane, étaient présents, le vice-président du parti démocrate, Nassib el-Gohary, l'ancien ministre Saleh Gharib, et des membres du Conseil politique du Parti démocrate.
Teymour Joumblatt s'était déjà rendu auprès du chef du CPL, Gebran Bassil, le 13 novembre dernier, et auprès du leader des Marada, Sleiman Frangieh, le 26 décembre.
Les deux hommes étaient d’accord sur la nécessité de préserver la stabilité du Liban, «pour éviter que la situation ne s'aggrave sur le front sud et pour débloquer la présidentielle».
À l’issue de cette rencontre, le chef du PSP a rappelé l'objectif de la visite «qui s’inscrit dans le cadre des contacts et des visites auprès des diverses forces politiques», avant de souligner que «les points de vue étaient identiques sur l'importance du maintien de la stabilité au Liban».
M. Joumblatt s’est toutefois dit inquiet du «danger israélien qui continue de planer malgré tous les efforts régionaux» en faveur d’un apaisement.
Il a également exprimé l'espoir que «des solutions politiques débouchent sur un cessez-le-feu à Gaza», afin et surtout pour que «la situation ne devienne pas incontrôlable au Liban-Sud».
Le député du Chouf a ensuite déploré le fait que certains veuillent attendre «les résultats de la guerre en Palestine» pour élire un président de la République, en insistant sur le caractère libanais de ce dossier. «Cette question est d'abord une responsabilité libanaise, et non une responsabilité étrangère, avec toute ma reconnaissance aux amis du Liban et au groupe des Cinq (France, Arabie saoudite, Qatar, Égypte et États-Unis) qui essaie toujours de trouver des solutions» à la crise politique, a aussi souligné M. Joumblatt.
De son côté, Talal Arslane, a souligné, devant son hôte «la nécessité de renforcer l'unité interne libanaise». Il a aussi insisté sur "la responsabilité commune de préserver l’unité de la montage». «Nous avons tous la responsabilité de consolider la situation aux plans social, sanitaire et économique dans la montagne», a-t-il dit, en ajoutant que les réunions se poursuivront avec le PSP «pour discuter des préoccupations communes».
La délégation présidée par M. Joumblatt était composée des députés Akram Chehayeb, Wael Bou Faour, Hadi Abou el-Hosn, Fayçal el-Sayegh, du secrétaire général du parti, Zafer Nasser et du conseiller de M. Joumblatt, Houssam Harb. Aux côtés de M. Arslane, étaient présents, le vice-président du parti démocrate, Nassib el-Gohary, l'ancien ministre Saleh Gharib, et des membres du Conseil politique du Parti démocrate.
Teymour Joumblatt s'était déjà rendu auprès du chef du CPL, Gebran Bassil, le 13 novembre dernier, et auprès du leader des Marada, Sleiman Frangieh, le 26 décembre.
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