Selon la chaîne locale, LBCI, les quatre vice-gouverneurs de la Banque du Liban, qui avaient brandi la semaine dernière la menace d’une démission si un nouveau gouverneur de la BDL n’est pas nommé avant le 31 juillet, maintiendront leurs postes pour le moment.
Cette information fait suite à des rumeurs pressantes, qui ont circulé samedi, selon lesquelles les quatre vice-gouverneurs, Wassim Mansouri, Bachir Yakzan, Sélim Chahine et Alexandre Mouradian, envisageraient de démissionner lundi.
Toujours selon la LBCI, ces derniers intensifieront leurs réunions dans les prochains jours, ainsi que leurs contacts pour pousser les autorités à aborder sérieusement la question de la vacance à la tête de la BDL à l’expiration du mandat du gouverneur, Riad Salamé, le 31 juillet, ainsi que celle des réformes indispensables.
Ce sursis pourrait s'expliquer par une reprise des contacts internationaux au sujet du Liban. Lundi, à Doha, les représentants du groupe des cinq (France, États-Unis, Arabie saoudite, Égypte et Qatar) se réuniraient en présence de l'envoyé spécial du président français, Emmanuel Macron, pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, qui se trouve actuellement dans le Golfe. Ce dernier doit leur rendre compte des résultats de sa mission en juin dernier à Beyrouth et discuter avec eux de propositions pour une sortie de crise, dont on dit qu'elle ne porterait pas seulement sur un déblocage de la présidentielle. Un règlement pourrait ainsi porter sur tout un package qui inclurait la formation et la composition d'un nouveau gouvernement, les réformes attendues du Liban, ainsi que les nominations à des postes clés, notamment à la tête de la BDL et de l'armée.
Cette information fait suite à des rumeurs pressantes, qui ont circulé samedi, selon lesquelles les quatre vice-gouverneurs, Wassim Mansouri, Bachir Yakzan, Sélim Chahine et Alexandre Mouradian, envisageraient de démissionner lundi.
Toujours selon la LBCI, ces derniers intensifieront leurs réunions dans les prochains jours, ainsi que leurs contacts pour pousser les autorités à aborder sérieusement la question de la vacance à la tête de la BDL à l’expiration du mandat du gouverneur, Riad Salamé, le 31 juillet, ainsi que celle des réformes indispensables.
Ce sursis pourrait s'expliquer par une reprise des contacts internationaux au sujet du Liban. Lundi, à Doha, les représentants du groupe des cinq (France, États-Unis, Arabie saoudite, Égypte et Qatar) se réuniraient en présence de l'envoyé spécial du président français, Emmanuel Macron, pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, qui se trouve actuellement dans le Golfe. Ce dernier doit leur rendre compte des résultats de sa mission en juin dernier à Beyrouth et discuter avec eux de propositions pour une sortie de crise, dont on dit qu'elle ne porterait pas seulement sur un déblocage de la présidentielle. Un règlement pourrait ainsi porter sur tout un package qui inclurait la formation et la composition d'un nouveau gouvernement, les réformes attendues du Liban, ainsi que les nominations à des postes clés, notamment à la tête de la BDL et de l'armée.
Ici Beyrouth
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