Le député du courant aouniste, Salim Aoun, a dénoncé le manque d’engagement d’un certain nombre de députés affiliés au Courant patriotique libre (CPL). Dans une interview accordée mercredi, 14 juin, à la Voix de tout le Liban, il a considéré que «les différences sont le droit de tout un chacun, mais lorsqu’un bloc prend une décision, c’est tout le groupe qui doit s’y conformer».
Alors que la douzième séance prévue pour l’élection d’un président de la République est sur le point de se tenir, M. Aoun a déclaré que «le Liban entre dans une nouvelle phase aujourd’hui, et que ce qui compte c’est le nombre de voix qui en résultera». Il a, dans ce sens, expliqué que l’écart des voix entre les deux principaux candidats, à savoir le chef des Marada, Sleiman Frangié, et l’ancien ministre Jihad Azour, constitue un indicateur important. Il a également assuré que c’est M. Azour qui en récoltera le plus grand nombre.
Concernant les pressions exercées par le tandem chiite (Amal-Hezbollah) pour l’obtention du plus grand nombre de votes en faveur de M. Frangié, M. Aoun a considéré qu’«il est normal que chaque partie essaie de mettre en avant son candidat».
Il a, par ailleurs, averti que «si les tensions persistent, la vacance présidentielle perdurera».
Alors que la douzième séance prévue pour l’élection d’un président de la République est sur le point de se tenir, M. Aoun a déclaré que «le Liban entre dans une nouvelle phase aujourd’hui, et que ce qui compte c’est le nombre de voix qui en résultera». Il a, dans ce sens, expliqué que l’écart des voix entre les deux principaux candidats, à savoir le chef des Marada, Sleiman Frangié, et l’ancien ministre Jihad Azour, constitue un indicateur important. Il a également assuré que c’est M. Azour qui en récoltera le plus grand nombre.
Concernant les pressions exercées par le tandem chiite (Amal-Hezbollah) pour l’obtention du plus grand nombre de votes en faveur de M. Frangié, M. Aoun a considéré qu’«il est normal que chaque partie essaie de mettre en avant son candidat».
Il a, par ailleurs, averti que «si les tensions persistent, la vacance présidentielle perdurera».
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