Les informations qui ont circulé ce week-end sur un accord imminent entre les deux principaux partis chrétiens, les Forces libanaises (LF) et le Courant patriotique libre (CPL), sur le soutien de la candidature du directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du Fonds monétaire international, Jihad Azour, à la présidence de la République, ont suscité de nombreuses réactions.
Fadi Karam, député des Forces libanaises, a déclaré lors d'un entretien avec la chaîne LBC lundi que le bloc parlementaire de son parti adoptera une «position officielle concernant la question présidentielle dans les prochains jours».
«Les informations selon lesquelles l'ancien ministre Jihad Azour ne veut pas être un candidat de défi face au chef des Marada Sleiman Frangié sont fausses. Il est prêt à rester dans la course si sa candidature est soutenue par un certain groupe, ce qui entraînerait une annonce conjointe», a déclaré M. Karam.
De son côté, le ministre sortant de l'Information, Ziad Makari, proche de M. Frangié, s’est montré convaincu que le chef des Marada assumerait la présidence.
«Nous nous dirigeons vers l'élection d'un nouveau président de la République qui devrait être Sleiman Frangié», a déclaré Makari dans une interview radio.
Critiquant la potentielle candidature de Jihad Azour, il a affirmé qu'«un président technocrate est inadapté aux exigences de la phase actuelle, contrairement à Sleiman Frangié qui croit au dialogue avec le Hezbollah et entretient de bonnes relations avec le voisinage arabe et la Syrie».
Il s’est demandé: «Comment les parties de l'opposition peuvent-elles soutenir un candidat sans programme politique?»
Sajih Attieh, député du bloc de la modération nationale, a révélé que les députés du bloc ne voteraient pas blanc au cas où une séance électorale se tiendrait dans les deux prochaines semaines.
«Nous participerons au processus de prise de décision, mais nous n'annoncerons le nom du candidat que nous soutiendrons qu'au sein du Parlement afin de ne pas perturber l'élection», a déclaré M. Attieh dans une interview.
Il a indiqué qu'aucun accord définitif n’a été atteint sur la candidature de Jihad Azour, «qui ne veut pas être un candidat de défi», excluant la possibilité d'une confrontation Azour-Frangié.
Par ailleurs, le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Naïm Kassem, a appelé l'opposition à «libérer» l'élection présidentielle et à voter pour «un président libre, capable de sauver le pays. Il a ainsi tweeté: «Depuis le début, la candidature de Sleiman Frangié a été soutenue par un nombre important, qui ne cesse de croître, tandis que l'opposition a du mal à s'entendre sur un candidat parmi une liste de 16 noms pour l’affronter.»
Fadi Karam, député des Forces libanaises, a déclaré lors d'un entretien avec la chaîne LBC lundi que le bloc parlementaire de son parti adoptera une «position officielle concernant la question présidentielle dans les prochains jours».
«Les informations selon lesquelles l'ancien ministre Jihad Azour ne veut pas être un candidat de défi face au chef des Marada Sleiman Frangié sont fausses. Il est prêt à rester dans la course si sa candidature est soutenue par un certain groupe, ce qui entraînerait une annonce conjointe», a déclaré M. Karam.
De son côté, le ministre sortant de l'Information, Ziad Makari, proche de M. Frangié, s’est montré convaincu que le chef des Marada assumerait la présidence.
«Nous nous dirigeons vers l'élection d'un nouveau président de la République qui devrait être Sleiman Frangié», a déclaré Makari dans une interview radio.
Critiquant la potentielle candidature de Jihad Azour, il a affirmé qu'«un président technocrate est inadapté aux exigences de la phase actuelle, contrairement à Sleiman Frangié qui croit au dialogue avec le Hezbollah et entretient de bonnes relations avec le voisinage arabe et la Syrie».
Il s’est demandé: «Comment les parties de l'opposition peuvent-elles soutenir un candidat sans programme politique?»
Sajih Attieh, député du bloc de la modération nationale, a révélé que les députés du bloc ne voteraient pas blanc au cas où une séance électorale se tiendrait dans les deux prochaines semaines.
«Nous participerons au processus de prise de décision, mais nous n'annoncerons le nom du candidat que nous soutiendrons qu'au sein du Parlement afin de ne pas perturber l'élection», a déclaré M. Attieh dans une interview.
Il a indiqué qu'aucun accord définitif n’a été atteint sur la candidature de Jihad Azour, «qui ne veut pas être un candidat de défi», excluant la possibilité d'une confrontation Azour-Frangié.
Par ailleurs, le secrétaire général adjoint du Hezbollah, Naïm Kassem, a appelé l'opposition à «libérer» l'élection présidentielle et à voter pour «un président libre, capable de sauver le pays. Il a ainsi tweeté: «Depuis le début, la candidature de Sleiman Frangié a été soutenue par un nombre important, qui ne cesse de croître, tandis que l'opposition a du mal à s'entendre sur un candidat parmi une liste de 16 noms pour l’affronter.»
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