Le député Simon Abiramia a assuré samedi que des concertations sont en cours actuellement entre le Courant patriotique libre (CPL) et les Forces libanaises (FL) au sujet de la présidentielle.
Au cours d’une intervention sur la chaîne de télévision al-Jadeed, il a mis en garde contre les répercussions catastrophiques sur le pays d'une prolongation de la vacance présidentielle, révélant que "l’Arabie saoudite n’a pour le moment effectué aucune percée et ne s’est toujours pas prononcée sur ce sujet". Le député de Jbeil a dans ce cadre appelé à "une libanisation de cette échéance", insistant sur le fait que "tout rapprochement entre les le CPL et les FL, les Kataëb, ou encore les Marada, facilitera le déblocage de l'élection".
Simon Abiramia a par ailleurs souligné que la formation aouniste n’a pour le moment toujours pas appuyé une candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun. Il a enfin fait part de sa "désolation de voir certains parier sur les décisions étrangères, alors que le Liban ne constitue pas une priorité à l'heure actuelle pour des pays eux-mêmes empêtrés dans leurs propres crises".
Au cours d’une intervention sur la chaîne de télévision al-Jadeed, il a mis en garde contre les répercussions catastrophiques sur le pays d'une prolongation de la vacance présidentielle, révélant que "l’Arabie saoudite n’a pour le moment effectué aucune percée et ne s’est toujours pas prononcée sur ce sujet". Le député de Jbeil a dans ce cadre appelé à "une libanisation de cette échéance", insistant sur le fait que "tout rapprochement entre les le CPL et les FL, les Kataëb, ou encore les Marada, facilitera le déblocage de l'élection".
Simon Abiramia a par ailleurs souligné que la formation aouniste n’a pour le moment toujours pas appuyé une candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun. Il a enfin fait part de sa "désolation de voir certains parier sur les décisions étrangères, alors que le Liban ne constitue pas une priorité à l'heure actuelle pour des pays eux-mêmes empêtrés dans leurs propres crises".
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