Sur les murs, des visages indistincts et des sourires que les aléas de la guerre n’ont pas effacés. Les photos en noir et blanc laissent deviner l’ancienneté des images. Entre ces portraits muets, des dates rappellent les moments clés d’un combat remontant à 40 ans.


Celui des familles des disparus de la guerre du Liban. Wadad Halawani, présidente de la commission, revient sur sa lutte pour connaître le sort de plus de 2000 personnes portées disparues entre 1975 et 1990. Son mari est toujours porté disparu depuis son enlèvement en 1982 par des miliciens non identifiés.
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