Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a déclaré mardi vouloir donner la priorité aux dossiers des enseignants des écoles publiques et de l’Université libanaise, en grève depuis trois semaines.
«J'attends les propositions du ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, avant de donner le coup d’envoi de la troisième séance du Conseil des ministres» a souligné M. Mikati. Cette réunion gouvernementale portera également sur un nombre de dossiers à caractère urgent et pourrait se tenir au cours de cette semaine ou en début de semaine prochaine.
Le Premier ministre chargé de l'expédition des affaires courantes a en outre rappelé, dans le cadre du lancement de la «Stratégie nationale pour le secteur de la santé» que «les deux premières sessions du Cabinet étaient consacrées aux solutions relatives aux secteurs de la santé et de l’électricité». Il a dans ce sens déploré «la façon dont se sont déroulées ces réunions car elles étaient imprégnées de surenchère politique et de sectarisme haineux».
«Au vu des circonstances actuelles, nous n’avons pas le luxe de nous disputer. Épargnons la patrie et le peuple de ces débats stériles, qui ne vont pas de pair avec la Constitution libanaise et qui s’inscrivent dans un esprit de contradictions politiques», s'est-il insurgé.
«Nous travaillons conformément à la Constitution, dans l’attente d'un nouveau président de la République et d'une nouvelle phase constitutionnelle et politique. Nous continuerons à travailler l'esprit serein et nos priorités sont l'intérêt des Libanais et le bon fonctionnement des institutions», a-t-il conclu.
«J'attends les propositions du ministre sortant de l’Éducation, Abbas Halabi, avant de donner le coup d’envoi de la troisième séance du Conseil des ministres» a souligné M. Mikati. Cette réunion gouvernementale portera également sur un nombre de dossiers à caractère urgent et pourrait se tenir au cours de cette semaine ou en début de semaine prochaine.
Le Premier ministre chargé de l'expédition des affaires courantes a en outre rappelé, dans le cadre du lancement de la «Stratégie nationale pour le secteur de la santé» que «les deux premières sessions du Cabinet étaient consacrées aux solutions relatives aux secteurs de la santé et de l’électricité». Il a dans ce sens déploré «la façon dont se sont déroulées ces réunions car elles étaient imprégnées de surenchère politique et de sectarisme haineux».
«Au vu des circonstances actuelles, nous n’avons pas le luxe de nous disputer. Épargnons la patrie et le peuple de ces débats stériles, qui ne vont pas de pair avec la Constitution libanaise et qui s’inscrivent dans un esprit de contradictions politiques», s'est-il insurgé.
«Nous travaillons conformément à la Constitution, dans l’attente d'un nouveau président de la République et d'une nouvelle phase constitutionnelle et politique. Nous continuerons à travailler l'esprit serein et nos priorités sont l'intérêt des Libanais et le bon fonctionnement des institutions», a-t-il conclu.
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