Le chef du parti Kataëb, Samy Gemayel, a estimé mardi qu’«il n’est pas important d’élire un président de la République uniquement pour combler la vacance présidentielle; il faut savoir quelle personne élire pour occuper cette fonction, sachant que le parti n’acceptera pas un chef de l’État qui se contente de rafistoler et de reporter les problèmes pendant les six prochaines années».
À l’issue de sa rencontre avec le député Michel Moawad, M. Gemayel a considéré que «le mandat présidentiel de Michel Aoun est pire que la vacance présidentielle». Il a ajouté qu’«il est capital que le prochain chef de l’État puisse résoudre les problèmes auxquels font face les Libanais sans y prendre part».
Samy Gemayel a également souligné que le camp politique adverse n’a toujours pas avancé le nom d’un candidat, alors que l’opposition, dont il fait partie, possède déjà le sien. «Nous ne sommes pas tenus de proposer de nouveaux noms», a-t-il tranché.
Pour sa part, Michel Moawad a déclaré que sa rencontre avec le parti Kataëb était «une réunion de coordination axée sur l’échéance présidentielle et certains dossiers politiques ». «Le vrai combat consiste à élire un président de la République souverainiste et réformateur, capable de sauver le pays. C’est donc une bataille de souveraineté, de réformes et de sauvetage qui prend place et qui nécessite plus d’entraide et de coordination», a-t-il indiqué.
«Nous n’avons pas de plan A, de plan B ou de plan C, mais une feuille de route qui permet l’élection d’un chef de l’État qui soit doté de ces qualités», a précisé M. Moawad. «Il est vrai que je suis candidat à la présidence, conformément à cette feuille de route établie par les forces de l’opposition. Cependant, je reste prêt à soutenir un candidat capable d’obtenir 65 voix au sein du Parlement», a-t-il conclu.
À l’issue de sa rencontre avec le député Michel Moawad, M. Gemayel a considéré que «le mandat présidentiel de Michel Aoun est pire que la vacance présidentielle». Il a ajouté qu’«il est capital que le prochain chef de l’État puisse résoudre les problèmes auxquels font face les Libanais sans y prendre part».
Samy Gemayel a également souligné que le camp politique adverse n’a toujours pas avancé le nom d’un candidat, alors que l’opposition, dont il fait partie, possède déjà le sien. «Nous ne sommes pas tenus de proposer de nouveaux noms», a-t-il tranché.
Pour sa part, Michel Moawad a déclaré que sa rencontre avec le parti Kataëb était «une réunion de coordination axée sur l’échéance présidentielle et certains dossiers politiques ». «Le vrai combat consiste à élire un président de la République souverainiste et réformateur, capable de sauver le pays. C’est donc une bataille de souveraineté, de réformes et de sauvetage qui prend place et qui nécessite plus d’entraide et de coordination», a-t-il indiqué.
«Nous n’avons pas de plan A, de plan B ou de plan C, mais une feuille de route qui permet l’élection d’un chef de l’État qui soit doté de ces qualités», a précisé M. Moawad. «Il est vrai que je suis candidat à la présidence, conformément à cette feuille de route établie par les forces de l’opposition. Cependant, je reste prêt à soutenir un candidat capable d’obtenir 65 voix au sein du Parlement», a-t-il conclu.
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