Avant le numérique, avant les écrans, il y avait un pinceau.
Celui de Yervant Hawarian, baron libanais des affiches de cinéma.
Avec l’exposition Rewind, ses œuvres quittent la rue pour raconter l’âge d’or de Beyrouth, quand l’imaginaire se peignait à la main et que la ville vivait au rythme du cinéma. 

 

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