À l’approche des élections législatives du 11 novembre, la jeunesse irakienne se divise entre boycott et participation.
Certains suivent l’appel du leader chiite Moqtada Sadr à ne pas voter, dénonçant la corruption et le manque de services essentiels.


D’autres affirment que voter reste un devoir, porté par l’espoir de changement.
Ces élections, observées de près par l’Iran, pourraient redéfinir le paysage politique d’un pays toujours en équilibre fragile entre Téhéran et Washington.

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