Farès Souhaid, président du rassemblement La Constitution d’abord, a affirmé que le désarmement du Hezbollah relève d’un devoir constitutionnel, soulignant qu’il s’agit d’une mission également prévue dans l’accord de Taëf.

M. Souhaid s’exprimait lors d’une conférence de presse conjointe tenue par la rencontre de Saydet el-Jabal et le rassemblement La Constitution d’abord, dans les bureaux du Centre libanais de recherches et d'études Politica, à Achrafieh.

L’ancien député a salué le retour à l’esprit de l’accord de Taëf, rappelant que «pour la première fois depuis 1969, le pays entre dans une phase sérieuse de mise en œuvre du désarmement des milices, comme le prévoit Taëf».

Au terme de la conférence, il a accordé un entretien à Ici Beyrouth.

Commentaires
  • Aucun commentaire