La ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna a dénoncé vendredi l’impérialisme iranien et ses visées hégémoniques qui menacent la sécurité et la stabilité de ses voisins.
« L’Iran continue de chercher à étendre son emprise aux dépens de la souveraineté et de la sécurité de ses voisins et ne renonce en rien à sa rhétorique hégémonique », a déclaré la cheffe de la diplomatie lors de la Conférence des ambassadrices et ambassadeurs français.
Concernant l’accord sur le programme nucléaire iranien, Mme. Colonna, qui a repris le discours du président Macron, a rappelé que « la balle est aujourd’hui dans le camp de Téhéran ». Elle a précisé, en évoquant le cas de l’Irak, où l’ingérence iranienne contribue largement à l’instabilité du pays, que « le sujet de la sécurité au Moyen-Orient ne se limite donc pas à la question nucléaire », avant d’ajouter : « Notre engagement impartial en faveur de la souveraineté et de la stabilité de l’Irak ne s’est jamais démenti. Alors que l’Irak traverse la pire crise politique depuis 2003 et a connu ces derniers jours une flambée de violence, nous pouvons contribuer à encourager une dynamique de désescalade et de dialogue inclusif ».
Concernant le conflit israélo-palestinien, la ministre, tout en ayant un avis positif sur les Accords d’Abraham, rappelle que ces accords sont incomplets tant qu’ils n’offrent pas « un horizon politique à la question palestinienne ». Elle a conclu ses propos en rappelant que, pour la France, « une solution à deux États est la seule souhaitable ».
« L’Iran continue de chercher à étendre son emprise aux dépens de la souveraineté et de la sécurité de ses voisins et ne renonce en rien à sa rhétorique hégémonique », a déclaré la cheffe de la diplomatie lors de la Conférence des ambassadrices et ambassadeurs français.
Concernant l’accord sur le programme nucléaire iranien, Mme. Colonna, qui a repris le discours du président Macron, a rappelé que « la balle est aujourd’hui dans le camp de Téhéran ». Elle a précisé, en évoquant le cas de l’Irak, où l’ingérence iranienne contribue largement à l’instabilité du pays, que « le sujet de la sécurité au Moyen-Orient ne se limite donc pas à la question nucléaire », avant d’ajouter : « Notre engagement impartial en faveur de la souveraineté et de la stabilité de l’Irak ne s’est jamais démenti. Alors que l’Irak traverse la pire crise politique depuis 2003 et a connu ces derniers jours une flambée de violence, nous pouvons contribuer à encourager une dynamique de désescalade et de dialogue inclusif ».
Concernant le conflit israélo-palestinien, la ministre, tout en ayant un avis positif sur les Accords d’Abraham, rappelle que ces accords sont incomplets tant qu’ils n’offrent pas « un horizon politique à la question palestinienne ». Elle a conclu ses propos en rappelant que, pour la France, « une solution à deux États est la seule souhaitable ».
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