Gözümüz yok

Gözümüz yok ou le syndrome de l’œil paresseux

« The eyes are not here » se lamentait le poète anglo-américain T. S. Eliot, « there are no eyes here, in this valley of dying stars, in this hollow valley, the broken jaw of our lost kingdoms » (1). Il écrivit ses vers il y a cent ans. Il se désolait de l’état du monde et, à l’évidence, il s’adressait à ceux des Libanais ...