J'ai comme un goût sweet & sour dans la bouche, une impression d'inachevé qui frustre les «i» à qui j’avais promis des points.
J'ai mal aux yeux, je suis perdue... Déboussolée... J’ai tout balayé... J’ai tout rangé... Les glaçons n’ont pas réussi à me rendre froide... Rien n'est déjà plus comme avant. Impossible de faire marche arrière. Je refuse ce genre de conclusion. Mes journées sont balancées par... Non je reprends... Mes journées sont écrasées par des secondes qui échappent à la tourmente des décisions que j’hésite à prendre.
Les fils s’embrouillent et pourtant le temps file sans que j’en attrape le bout. Les journées sont trop courtes, même si je ne dors plus... Comment être tout ce qu’on veut quand on n’a qu’une seule vie?
Expulsion... Pulsion... Et moi je me cogne aux barrières de mes contradictions.
J’ai des bleus de confusion des destinations.
Hypertension.
Passer au travers de mes limites sans me laisser traverser. Décortiquer et regarder à l’intérieur. Focus. Alice au pays des projections. Distiller l’essence, le concentré d’émotions… Les extraits de la passion. Puiser à la source. Self-service… C’est l’inconscient qui se régale. Se laisser bercer par les illusions. Lire Kant et se moquer de la raison. S’autoriser ces divagations. Réinitialiser… Retour sur soi pour faire le plein avant de repartir… Même si partir tient de la trahison… Jouer au boomerang... Se plaindre de la loi de Murphy… Craindre les légendes urbaines… Abuser de l’exception qui confirme la règle (ça la rend déréglée)… Admettre que c’est quand même pratique de trouver des excuses ou des appellations pour justifier des choses dont on ne trouve pas l’explication.
Rêver en gardant sa lucidité (c’est paradoxal, je sais). Y aller d’un trait. Point à la ligne.
Le bilan, on devra le faire avant le jour de l’an.
J'ai mal aux yeux, je suis perdue... Déboussolée... J’ai tout balayé... J’ai tout rangé... Les glaçons n’ont pas réussi à me rendre froide... Rien n'est déjà plus comme avant. Impossible de faire marche arrière. Je refuse ce genre de conclusion. Mes journées sont balancées par... Non je reprends... Mes journées sont écrasées par des secondes qui échappent à la tourmente des décisions que j’hésite à prendre.
Les fils s’embrouillent et pourtant le temps file sans que j’en attrape le bout. Les journées sont trop courtes, même si je ne dors plus... Comment être tout ce qu’on veut quand on n’a qu’une seule vie?
Expulsion... Pulsion... Et moi je me cogne aux barrières de mes contradictions.
J’ai des bleus de confusion des destinations.
Hypertension.
Passer au travers de mes limites sans me laisser traverser. Décortiquer et regarder à l’intérieur. Focus. Alice au pays des projections. Distiller l’essence, le concentré d’émotions… Les extraits de la passion. Puiser à la source. Self-service… C’est l’inconscient qui se régale. Se laisser bercer par les illusions. Lire Kant et se moquer de la raison. S’autoriser ces divagations. Réinitialiser… Retour sur soi pour faire le plein avant de repartir… Même si partir tient de la trahison… Jouer au boomerang... Se plaindre de la loi de Murphy… Craindre les légendes urbaines… Abuser de l’exception qui confirme la règle (ça la rend déréglée)… Admettre que c’est quand même pratique de trouver des excuses ou des appellations pour justifier des choses dont on ne trouve pas l’explication.
Rêver en gardant sa lucidité (c’est paradoxal, je sais). Y aller d’un trait. Point à la ligne.
Le bilan, on devra le faire avant le jour de l’an.
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