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- Berry: de l’urgence d’élire un président de la République
Le président de la Chambre, Nabih Berry, a reçu mardi le bâtonnier des avocats de Beyrouth, Fadi Masri, ainsi que les nouveaux membres du conseil de l’Ordre.
MM. Berry et Masri ont insisté sur la nécessité de procéder, dans les plus brefs délais, à l’élection d’un nouveau chef de l’État, «condition essentielle pour le bon fonctionnement des institutions».
M. Berry a appelé, dans ce sens, les officiels «à assumer leurs responsabilités nationales, surtout que le Liban traverse une période difficile et dangereuse, à plus d’un niveau: vacance présentielle, crise économique, déplacés syriens et agressions israéliennes à la frontière sud du Liban». Il a, de ce fait, souligné «le rôle crucial que peut jouer l’Ordre des avocats, aux côtés du Parlement, pour développer le travail législatif».
Lors de cette visite protocolaire qui survient au lendemain de l’élection du nouveau bâtonnier, d’autres questions relatives à l’Ordre et aux revendications des avocats ont été discutées.
Le président de la Chambre a également reçu une délégation du Front souverainiste.
À l’issue de la rencontre, le député Camille Dory Chamoun a déclaré que «la prorogation du mandat du commandant de l'armée, le général Joseph Aoun, est une urgence dans les circonstances actuelles, en raison de la guerre en cours au Liban-Sud».
Et M. Chamoun d’ajouter: «Il est impératif de préserver l'institution militaire, et il n'est pas permis, dans de telles circonstances, de remplacer le commandant de l'armée.» Selon lui, la nomination d’un nouveau chef de la Troupe devrait se faire «après l'élection du président de la République», car c’est ce dernier «qui nomme un nouveau commandant de l'armée, et non l'inverse».
En conclusion, M. Chamoun a exprimé le souhait que la question du report du départ à la retraite du chef de la Troupe et d’autres responsables sécuritaires soit traitée de façon «claire» lors de la prochaine séance parlementaire. Il a également espéré que le gouvernement «œuvre dans la même direction, afin de ne pas exposer le pays à une nouvelle vacance, en particulier sur le plan sécuritaire».
MM. Berry et Masri ont insisté sur la nécessité de procéder, dans les plus brefs délais, à l’élection d’un nouveau chef de l’État, «condition essentielle pour le bon fonctionnement des institutions».
M. Berry a appelé, dans ce sens, les officiels «à assumer leurs responsabilités nationales, surtout que le Liban traverse une période difficile et dangereuse, à plus d’un niveau: vacance présentielle, crise économique, déplacés syriens et agressions israéliennes à la frontière sud du Liban». Il a, de ce fait, souligné «le rôle crucial que peut jouer l’Ordre des avocats, aux côtés du Parlement, pour développer le travail législatif».
Lors de cette visite protocolaire qui survient au lendemain de l’élection du nouveau bâtonnier, d’autres questions relatives à l’Ordre et aux revendications des avocats ont été discutées.
Le président de la Chambre a également reçu une délégation du Front souverainiste.
À l’issue de la rencontre, le député Camille Dory Chamoun a déclaré que «la prorogation du mandat du commandant de l'armée, le général Joseph Aoun, est une urgence dans les circonstances actuelles, en raison de la guerre en cours au Liban-Sud».
Et M. Chamoun d’ajouter: «Il est impératif de préserver l'institution militaire, et il n'est pas permis, dans de telles circonstances, de remplacer le commandant de l'armée.» Selon lui, la nomination d’un nouveau chef de la Troupe devrait se faire «après l'élection du président de la République», car c’est ce dernier «qui nomme un nouveau commandant de l'armée, et non l'inverse».
En conclusion, M. Chamoun a exprimé le souhait que la question du report du départ à la retraite du chef de la Troupe et d’autres responsables sécuritaires soit traitée de façon «claire» lors de la prochaine séance parlementaire. Il a également espéré que le gouvernement «œuvre dans la même direction, afin de ne pas exposer le pays à une nouvelle vacance, en particulier sur le plan sécuritaire».
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