Le bureau politique du Courant patriotique libre (CPL) a indiqué mercredi que "la catastrophe qui a frappé le peuple syrien devait faire changer la manière dont la communauté internationale traite la Syrie" et permettre la lever de l’embargo. Le CPL a également souligné que la question de l’embargo ne concernait plus uniquement le régime de Bachar el-Assad mais tout le peuple syrien. Le chef du CPL Gebran Bassil, gendre de l'ancien président de la République et ancien ministre des Affaires étrangères, ne cesse de demander la levée des sanctions contre la Syrie et le retour de Damas dans le giron arabe, s'attirant les foudres des Libanais et des autres capitales arabes.
A l'issue de sa réunion hebdomadaire, le bureau politique du CPL a manifesté dans son communiqué sa solidarité avec la Turquie et la Syrie à la suite du séisme dévastateur qui a frappé les deux pays la nuit de dimanche à lundi.
Les réunions du Conseil des ministres ont également fait l’objet de cette réunion, dans laquelle le CPL a estimé, à son habitude, que le Premier ministre sortant Najib Mikati "enfreignait la Constitution en convoquant le Conseil des ministres d’une manière provocatrice", affirmant que « rien dans l’ordre du jour ne justifiait la tenue de la réunion " du lundi dernier.
Le CPL a par ailleurs appelé la Justice à « continuer de poursuivre les corrompus dans toutes les administrations » en citant ce qui se produit dans les administrations foncières et dans la commission de direction du trafic routier.
A l'issue de sa réunion hebdomadaire, le bureau politique du CPL a manifesté dans son communiqué sa solidarité avec la Turquie et la Syrie à la suite du séisme dévastateur qui a frappé les deux pays la nuit de dimanche à lundi.
Les réunions du Conseil des ministres ont également fait l’objet de cette réunion, dans laquelle le CPL a estimé, à son habitude, que le Premier ministre sortant Najib Mikati "enfreignait la Constitution en convoquant le Conseil des ministres d’une manière provocatrice", affirmant que « rien dans l’ordre du jour ne justifiait la tenue de la réunion " du lundi dernier.
Le CPL a par ailleurs appelé la Justice à « continuer de poursuivre les corrompus dans toutes les administrations » en citant ce qui se produit dans les administrations foncières et dans la commission de direction du trafic routier.
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